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Encore un Homme qui ose "raison garder": Jean-François Toussaint !

 

Mais pourquoi les médias interdisent-ils la parole à ceux qui ont l’honnêteté et le courage de  mettre en doute la parole officielle et gardent leur bon sens?

Jean François Toussaint est un professeur de physiologie à l’Universite de Paris, directeur de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport. J’ai entendu son interview sur Sud Radio, je le retranscrit!

« Disons que la raison a déserté la table des décisions. Une certaine élite parisienne reste sourde au désespoir de pans entiers de la société française. Elle offre l’image d’une panique, d’un catastrophisme. La politique de test est une expérimentation à grande échelle qui a coûté deux milliards d’euros cet été. Cela n’a montré qu’une chose, la diffusion extrêmement rapide du virus, derrière lequel courent les instances sanitaires sans pouvoir limiter quoi que ce soit. On pense qu’enfermer les gens entre 21 h le soir et 6 h du matin va éviter cette propagation virale.... Or, elle se fait dans les entreprises, les écoles, les université, les transports en commun, et finalement très peu dans les assiettes de six convives. On ne propose pas autre chose que de mettre des banlieues sous cloche et de renoncer à une politique sanitaire équilibrée qu’il aurait été nécessaire de mettre en place."

Que reproche-t-il au gouvernement, alors, que l’élévation du nombre de cas en réanimation occupe 1.600 lits sur 12.000 ? 

"L’adaptation du système de santé n’a pas été faite pendant les mois ayant suivi l’épidémie du printemps. Dieu sait si elle avait été annoncée. Le gouvernement n’a pas suivi nos alarmes. Il était en situation de préparer, d’augmenter, de répondre aux besoins du système hospitalier, public et privé. On voit que l’aveugle va guider le paralytique....

Il ne s’agit pas d’une deuxième vague, mais d’une augmentation lente et continue à laquelle il faut répondre par des mesures d’organisation sanitaire. L’Etat renonce et se met à détruire méthodiquement la société et l’avenir de la jeunesse."

J’approuve ces paroles.Tout l'avenir de la jeunesse compromis, une partie du monde mourra de misère et de FAIM. Il faut croire qu'un enfant mourant toutes les 5 secondes ( et oui comptez jusque'à 5 déjà aujourd'hui ne suffit pas pour les dirigeants du monde!!! Et de plus, quelles conséquences de cette paranoïa ambiante sur la santé mentale des adultes et l'équilibre des enfants auxquels mon passé d'institutrice me rend si sensible?

 

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