La fin de l’année est une occasion de faire un bilan. Bilan bien triste avec l’impression que les dirigeants, les politiques et les riches qui dirigent le monde ne rêvent que d'exclusion et de violences.
En ce lendemain de Noël, je voudrais citer le Pape François, ce pape atypique qui devrait devenir une référence et un guide de vie.
« La culture du bien être, qui nous amène à penser à nous-mêmes, nous rend insensibles aux cris des autres, nous fait vivre dans des bulles de savon qui sont belles, mais ne sont rien, elles sont l’illusion du futile, du provisoire , illusion qui porte à l’indifférence envers les autres et même à la mondialisation de l’indifférence »
« Partout il y a la guerre et aujourd’hui, il y a la haine. Et qu’est ce qu’il reste? Des ruines, des milliers d’enfants sans éducation, tant d’innocents morts. Et tant d’argent dans les poches des trafiquants d’armes… Une guerre peut se justifier, entre guillemets par tant et tant de raisons. Mais quand le monde entier , comme aujourd’hui, est en guerre, -c’est une guerre mondiale, par morceaux par ci, par là partout, il n’y pas de justification. . Un monde qui vit pour faire la guerre, avec le cynisme de dire qu’il ne la fait pas."
Et dans l’homélie d’hier, il affirme que « Noël a été pris en otage par le matérialisme et le commerce! ». "Oui, nous nous donnons du mal pour les cadeaux et restons insensible à celui qui est exclu ».
Comme j’approuve « notre » pape François. car le monde a besoin d’un homme comme lui pour rappeler les valeurs chrétiennes bien sur mais avant tout « humaines » qui sont la base de toute civilisation et que nous sommes en train d’oublier.