Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualités - Page 15

  • Comment un tout petit percoit-il les gens masqués?

    J’avais été choquée en lisant que le personnel des crèches devait maintenant être masqué. Mon expérience d’enseignante de maternelle et de CP, mes  etudes de psychologie des bébés et des petits jusqu’à trois ou quatre ans me faisaient  penser le plus grand mal de cette mesure. Je suis contente d’avoir trouvé l’article suivant dont je vais publier des extraits car je pense que c’est la vérité absolue et qu’on ne se rend pas compte des dégâts qu’on peut faire en masquant la figure de ceux qui s’occupent des tout petits.

    C’est la Tribune de Genève qui a publie un article expliquant les conséquences possibles de la mesure sur les bébés. Le journal a interrogé la pédopsychiatre Nadia Bruschweiler-Stern qui dirige le Centre Brazelton, spécialisé sur les nouveau-nés, à Genève, et qui a “beaucoup écrit sur les interactions précoces avec les tout-petits”. Et voici des extraits de l’article de La Tribune.

    «  Le médecin précise :

    «  Je ne suis pas infectiologue et ne prends pas position pour ou contre le masque, mais je souhaite que l’on comprenne les besoins fondamentaux des enfants afin de mieux évaluer les directives en vigueur.”

    Selon elle, le port du masque pourrait influer sur “l’apprentissage du langage, la capacité sociale, l’empathie, la lecture des intentions de l’autre et la régulation des émotions”.

    Concrètement, explique Nadia Bruschweiler-Stern, le nouveau-né s’oriente grâce au triangle que forment les yeux et la bouche de la mère, du père, et plus tard des éducateurs en crèche. C’est à travers les “échanges dynamiques” qu’il entretient qu’il apprend “à se connecter aux autres”, par exemple à “chercher les mimiques, capter leur sens, les imiter”. Une faculté qui se développe dans les premières années de vie. “Mais comment deviner un sourire qu’on ne voit pas ? Si l’on cache la bouche, la communication est entravée”, souligne la pédopsychiatre.

    Ne pas voir la bouche est “désécurisant”

    La spécialiste illustre le problème à travers deux expériences : celle dite de la “still face” et celle de la “falaise visuelle”. La première consiste à présenter un visage impassible à un bébé, quelque chose qui le plonge immédiatement “dans la détresse”.

    Dans la deuxième, plus complexe, “un enfant de 1 an avance sur une structure en plexiglas. À un moment, le passage devient transparent, le bébé perçoit à la fois la nouveauté et le danger. Il regarde aussitôt sa mère pour savoir comment réagir. ‘Si elle lui sourit, il continue à cheminer. Si elle affiche une mine apeurée, il s’arrête. L’expression du visage entier est un guide constant dans le développement émotionnel.’ Ne pas voir la bouche est donc ‘déroutant, désécurisant et anxiogène’ pour le bébé.”

    Que faire alors face à l’obligation de porter un masque ? Pour la pédiatre, des moments “démasqués” à distance devraient être observés, par exemple lors de l’accueil de l’enfant. Ensuite, des masques transparents comme ils sont recommandés pour des personnes malentendantes pourraient résoudre une partie du problème ».

    Et oui il faut si peu de choses pour déstabiliser les tout petits. Toute mère a pu observer les terreurs qui peuvent se déclencher devant un être humain dont l’aspect « diffère » des autres. Alors faut il prendre autant de risques de perturber l’avenir des tout petits? Pour moi, c’est une aberration de plus!

  • Me voilà à nouveau, toujours aussi contestataire!

    Je voulais abandonner mon blog, et me revoilà près de vous. Crée en octobre 2007, je le voulais en faire un hymne à l’espoir, l’espoir d’une vie meilleure, d’une société plus juste et surtout l’espoir que tous prenne conscience de ce que pouvait entraîner le réchauffement , plutôt le dérèglement climatique et le disparition de la biodiversité.

    J’ai essayé de mettre en valeur les initiatives enrichissantes... mais peu à peu ait été enclinte à critiquer ...et condamner.

    Cela me choquait car ma devise depuis ma prime jeunesse est une phrase d’Erasme : « Ne pas juger, ne pas critiquer, ne pas condamner... mais comprendre ».

    Seulement voilà je ne comprends plus!

    Alors j’ai essayé d’abandonner mon blog. J’ai arrêté d’écrire et je voulais le clore.

    Je ne pouvais imaginer l’épidémie  du coronavirus, l’hysterie, la folie de tous les peuples attisée par des médias irresponsables qui utilisent toutes les ressources de la psychologie pour mettre en condition des êtres qui ont perdu la réflexion « humaine » et le «  bon sens » qui caractérisait les hommes depuis les temps les plus lointains..

    Alors j’ai rouvert mon blog et écrit quelques feuilles «  Journal d’une vieille confinée contestataire ».

    J’ai découvert beaucoup d’autres personnalités qui pensaient comme moi, mais à eux s’attachait le mot «  complotiste » . J’ai été choquée car je sentais que j’allais moi aussi être affublée de ce mot qui me caractérise si peu.

    Les mois ont passé, j’ai à nouveau réfléchi... et je continue.

    Je ne suis pas complotiste mais j’ai gardé mon libre arbitre et j’ai tenu à me faire mon opinion moi même sur ce corona. J’ai cherché et étudié des centaines de documents, j’ai analysé tous les graphiques officiels que j’ai pu trouver.

    Je ne croyais pas possible de découvrir  autant de preuves de manipulations.

    Un exemple: on nous montre le graphique des cas positifs. Ces derniers augmentent mais il y a des millions de tests et avant ....il n’y en avait aucun. Or on sait très bien que cas positifs ne veut pas dire malade. En Islande où on avait testé tout le monde, 9 sur 10 des cas positifs ne se sont aperçus de rien. Mais on ne nous montre pas la courbe des morts, dommage car elle est quasiment plate.

    Et j’ai récolté des quantités de choses révoltantes. Les masques super protection ! Beaucoup en ont confectionné dans des vieilles « queues de chemise ». La chaîne et la trame sont plutôt lâches. 0,06 microns, 60 nanomètres, c’est la taille d’un virus. On voit à l’œil nu l’espace entre la chaîne et le trame du tissu donc un bon millard de corona pourraient passer en même temps.

    Et même les masques plus sérieux ne servent pas à grand chose. De plus, une personne de mon entourage qui est masqué toute la journée souffre de maux de tête, de fatigue et de difficultés à se concentrer. Et certains de ses collègues à lunettes ont des problèmes d’infections oculaires.  Des médecins, des pédiatres ont remarqué la même chose. Encore des complotistes sans doute!

    Du coup j’assume et continuerai à écrire aux yeux de tous ce que je découvre dans des heures d’études.

    Pourquoi ce monde conditionné? . On en trouve un exemple avec la nazisme né et peaufiné pour mettre tout le peuple aux pieds d’Hitler et de ses comparses. Alors aujourd’hui pourquoi? oui pourquoi?

    À bientôt.

  • Deux livres à lire quand on veut comprendre notre societe

    En deux jours, j’ai trouvé deux livres dont je recommanderais la lecture à tout le monde.

    Le premier s’appelle « Pandémie de la bêtise humaine » ecrit  par Boris Alexandre Spasov qui se définit comme humaniste.Il analyse la société, le rôle de la finance, qui elle même dirige la politique où cela nous mène, nous, pauvre peuple ! Il cite un psychologue qui écrit « La politique de nos jours serait-elle tout simplement une « machine à broyer l’équilibre mental des individus ?  ». Et comme je suis d’accord!

    Pour lui il faut s’indigner, ne pas accepter les « solutions qu’on nous impose comme inévitables, refuser les situations inacceptables. »

    On a beaucoup parlé de Bernard Henri Lévy, ces temps derniers et de ses interventions à la télé. Dès sa sortie, j’ai acheté son livre et ai dévoré ce « virus qui rend fou » . Je ne suis pas toujours d’accord avec les prises de position et les écrits de BLH, mais la j’acquiesce à chaque mot de ce pamphlet.

    Oh oui, il rend fou, ce COVID-19 et j’ai retrouvé dans cet essai, tout ce que je pense, tout ce que j’ai écrit dans ce blog. Les mensonges les manipulations et la docilité des foules, tout y est. Décidément depuis le « Discours de la servitude volontaire » de la Boetie, (paru en 1576) rien n’a changé dans l’art de la manipulation. Si tout de même, toutes les avancées en neurosciences ont été utilisées par les médias, la pub, les grand groupes ( GAFAM et autres) l’agroalimentaire, la chimie, les multinationales, la finance etc... pour mettre en condition un peuple tout entier.Je reparlerai de ces 2 livres mais j’ai voulu partager le plaisir de ces decouvertes

    Et je terminerai par 2 citations.

    De George Orwell : «  le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges respectables, les meurtres, et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que vent ». (Cité dans la Pandémie de la bêtise)

    Et de BHL: « Que nous proposait-on? Une vie terrifiée d’elle - même et terrée dans son désert kafkaïen transformée en colonie pénitentiaire.

    Une vie qui, pour peu qu’on lui garantisse sa survie, était prête à céder sur tout le reste... une vie ou on acceptait avec enthousiasme ou résignation, de passer de l’ État Providence a l’Etat de Surveillance... une vie ou on acceptait de renoncer à l’essentiel de ses libertés contre une garantie antivirus ».

    On parle toujours du monde d’avant, celui d’avant le Covid, celui d’hier, il me semble qu’il avait plus de bon sens dans le monde ...d’avant hier