Aujourd’hui je voudrais rendre hommage à mon grand-père. Dans les années 50, c’est son fils et son neveu maire de ce très petit village de cultivateurs, qui ont préparé le remembrement. Au nom de progrès, de la rentabilité, il s’agissait d’augmenter les parcelles, de supprimer les haies bordant les petits chemins creux et d’abattre les bosquets au coin des champs et des prés.